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En amont d'un diagnostic, la cartographie multi méthodes tractée ou manuelle, contribue à définir un zonage de la concentration de vestiges, elle peut donc servir, en accord avec les Archéologues et les Services de l'état, à disposer d'informations préalables à la phase terrain et à orienter les tranchées aléatoires du diagnostic. Cependant, dans un souci d'objectivité et fort de la connaissance des limites de la géophysique et des capteurs actuels, Archéo-GC s'appuie sur une méthodologie très précise, une charte de qualité définie en partenariat avec les archéologues pour scanner l'emprise du projet . |
Après le diagnostic. Malgré la perturbation induite par les tranchées du diagnostic archéologique, la géophysique peut être utilisée afin d'observer les continuités ou ruptures d'indices archéologiques inter tranchées afin d'assister à la prise de décision. Cela peut s'avérer un outil non négligeable en cours de phase d'étude pour aiguiller la fouille. Des indices repérés comme étant du parcellaire protohistorique peuvent donc être suivi dans leur globalité pendant la phase de diagnostic. Ce cadre d'intervention demeure assez rare. |
Hors emprise. les méthodes non destructrices de la géophysique permettent d'apporter des compléments d'informations hors du tracé ou de l'emprise d'un projet. La géophysique contribue à la compréhension globale d'un site repéré lors du diagnostic ou de la fouille. Cette vision constitue un atout indéniable comme support de l'archéologie préventive pour visualiser les extensions hors tracé d'un site. |
Chaque cas de figure constitue un cadre de travail dans lequel l'interaction décideur archéologue et Archéo-GC est primordiale. Les informations à la fois sur le contexte archéologique et géologique sont un réel gain de temps, en appui de l'archéologie préventive. |